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Vivre au vert : la Tech au service de la décarbonation des territoires


Publié le: 22 février 2021 par Atos

Le numérique est parfois pointé du doigt pour son coût énergétique au sein de nos territoires. Néanmoins son usage peut se révéler une ressource précieuse pour aider les acteurs des territoires à comprendre et optimiser leurs choix en termes de transition écologique.

 

Nul ne peut le nier : le numérique, comme toute autre activité, a son propre coût environnemental. Responsable de 4% des émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial - soit deux à trois fois les émissions annuelles de la France - le secteur pourrait en occasionner le double d’ici 2025. Il est également responsable de 10% de consommation d’eau douce en France et de l'excavation de milliards de tonnes de terres et de minerais. Pendant de longues années, voire décennies, l’objectif des acteurs du secteur a ainsi été de réduire le coût de l’informatique et du numérique pour l’environnement au sens large. « Après tout, 75% à 80% de l’impact environnemental d’un produit provient de la fabrication de ce même équipement », rappelle Eloi Maillard Perrochon, Manager Digital Compliance & Decarbonization au sein d’Atos.

Du Green for IT à l’IT for Green

« C’est désormais une norme : nous proposons aux territoires des solutions informatiques dont l’impact environnemental est intrinsèquement réduit », souligne Eloi Maillard Perrochon. Les territoires affirment en effet de plus en plus leurs ambitions écologiques, et dans ce cadre, le numérique est considéré comme une source d'émission à maîtriser et un levier de maîtrise des impacts environnementaux du territoire. Serveurs moins énergivores, partage de data centers entre communes, développement d’applications pour les citoyens et usagers : l’enjeu est de trouver le bon équilibre entre développement numérique et responsabilité environnementale. Au-delà du contrôle de son coût énergétique cependant, émergent des stratégies numériques au service de la décarbonation des territoires.

« Dans le Green Deal Européen (le Pacte Vert pour l’Europe, visant à rendre l'Europe climatiquement neutre en 2050, ndlr) ou dans les préconisations de la Convention citoyenne pour le climat en France, il est bien précisé que le numérique va jouer le rôle de catalyseur, de levier majeur pour agir, précise Eloi Maillard Perrochon. Il ne s’agit plus de verdir l’IT mais véritablement de mettre l’IT au service du développement durable ». Comment ? En privilégiant une approche territoriale des problématiques de consommation d’énergie et d’émissions de gaz à effet de serre qui structurera les différents niveaux d’intervention, de la réflexion globale à l’action locale.

Rien n’est encore joué pour autant : le rapport World Urbanization Prospects des Nations Unies indiquait en 2018 que les villes concentreront 6,7 milliards de personnes d’ici 2050, ce qui signifie qu’« entre 2000 et 2050, c’est ainsi tout un « second monde urbain », équivalent en taille à tout ce qui existait avant cette date qui sera construit ». Le visage des villes de 2050 reste donc à dessiner.

Le numérique, boussole des territoires en transition climatique ?

De nombreuses initiatives sont en cours : analyse des dépenses énergétiques multi-flux (eau, électricité, gaz) d’un bâtiment via des smart grids, contrôle de la fluidité d’une zone de circulation par des capteurs, calcul de l’impact d’une politique de réduction de la vitesse de circulation sur l’environnement, véhicules autonomes, éclairage public intelligent, modélisation de la biodiversité à l’échelle d’un territoire... « Nous créons des tableaux de bord - ou des jumeaux numériques - qui transforment des données captées en un formidable outil d’aide à la décision, précise Eloi Maillard Perrochon. Pour y parvenir, nous analysons d’abord les spécificités du territoire en question (sites industriels, habitations, secteurs) pour déterminer ensuite les bons indicateurs et les bonnes sources de données à collecter. Nous discutons enfin avec les acteurs de la ville de leurs attentes et des enjeux les plus importants à l’échelle de leur territoire ».

Dans cette vision du territoire durable, politique et à long terme, les plateformes de données sont amenées à jouer un rôle croissant. « Destinées à exploiter la masse de données générées par le territoire numérique, elles deviennent un accélérateur du décloisonnement et de l’innovation que réclament des territoires de plus en plus interdépendants et des citoyens de plus en plus mobiles », précise Philippe Bouchet, Directeur Collectivités territoriales d’Atos en France.

Parmi les données qui permettent aux territoires d’agir au plus près de leurs besoins, les données satellitaires jouent un rôle clé. « Elles offrent, précise Laurent Clergue, directeur des services d’images spatiales chez Atos, la possibilité d’élargir le point de vue dans l’espace comme dans le temps. Dans l’espace, on pourra comparer la situation locale avec celle de villes similaires ou tenir compte de facteurs éloignés (nuages de pollution, situation en amont des cours d’eau) ; dans le temps, constater la dynamique des phénomènes et évaluer le résultat des actions mises en œuvre. » Accessibles via les les plateformes de données satellites, elles sont utilisées, entre autre, pour identifier les îlots de chaleur et décider des espaces à revégétaliser, étudier l’implantation de panneaux solaires, suivre l’évolution de cours d’eau ou encore anticiper l’impact de catastrophes naturelles, sans évoquer les nombreux usages dans le domaine de l’agriculture.

Enfin, pour être véritablement efficaces, ces actions ont besoin de trouver un écho auprès des citoyens et usagers. Leur sensibilisation est une étape incontournable de la transformation numérique du territoire et pourra se faire par le partage d’information - données, tableaux de bord, bonnes pratiques, conseils - et la transparence sur les projets menés. Ainsi, à Grenoble, les habitants sont partie prenante de la démarche Vivacité, dans laquelle ils sont invités à partager des données de comptage de leurs consommations multi-flux. Ils bénéficient en retour d’informations précieuses sur leur profil de consommateurs. Cette confiance est un ciment essentiel pour les projets de réduction de l’empreinte énergétique, dont les enjeux nous sont chaque jour rappelés.

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