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3 scénarios pour comprendre l’industrie du futur


Publié le: 8 octobre 2018 par Atos

Convenons-en, que l’on parle d’industrie du futur ou d’industrie 4.0, le concept reste assez flou. Après tout, cela fait 40 ans qu’il y a des robots dans les usines et leur multiplication semble plus une continuation qu’une révolution. Mais l’industrie du futur, c’est beaucoup plus qu’un pas supplémentaire dans l’automatisation. Voici trois scénarios pour comprendre ce qui se cache derrière cette expression.

Objectif zéro défaillance : réparer avant la panne

Plus que quiconque, les industriels savent qu’il vaut beaucoup mieux prévenir que guérir. En désorganisant des productions tendues à l’extrême, la moindre panne de machine se traduit par des pertes considérables, qui peuvent se monter à des centaines de milliers d’euros dans le cas d’une plateforme pétrolière ou d’un haut fourneau sidérurgique. La parade habituelle, comme pour les avions, est de programmer régulièrement des opérations d’entretien au cours desquelles on inspecte, on graisse, on remplace par précaution… Mais cette maintenance dite « préventive » nécessite malgré tout des arrêts longs et fréquents qui pèsent sur la productivité. Et elle ne donne pas toutes les garanties de fiabilité. Aujourd’hui, grâce aux capteurs dont sont équipées les machines, on peut mesurer la moindre vibration douteuse, la moindre élévation suspecte de température, le moindre défaut révélateur… Analysées par une intelligence artificielle, ces informations permettent de déceler les signes avant-coureurs d’une panne bien avant qu’elle ne survienne. La maintenance devient prédictive, et l’on n’intervient plus sur la machine que de façon ciblée et parfaitement organisée. On minimise l’interruption de la production, on élimine les opérations inutiles, et surtout on écarte pour de bon le risque de défaillance.

Tous pareils et tous différents : la production personnalisée à l’extrême

Aujourd’hui, tout le monde veut une voiture, un canapé ou des chaussures répondant exactement à ses attentes. La bonne taille, la bonne couleur, les bonnes options… Mais plus il y a de choix, plus il y a de combinaisons possibles, et plus la production devient un casse-tête. Il faut avoir suffisamment de pièces de toutes sortes, ce qui coûte cher. Il faut ajuster les réglages des différentes machines, ce qui prend du temps. Et chaque étape devient unique, ce qui multiplie les risques d’erreur. Bref, la personnalisation, c’est la quadrature du cercle pour les industriels qui, depuis toujours, s’efforcent au contraire de standardiser pour produire mieux, plus vite et moins cher. Avec le digital, tout change. Tout d’abord, le big data permet de mieux anticiper la demande, ce qui permet de s’approvisionner et de s’organiser en conséquence. Puis on peut générer, à chaque commande, une fiche d’identité numérique détaillant les caractéristiques voulues par le client. Cette fiche suit ensuite le produit tout au long de sa fabrication et, d’étape en étape, elle appelle les pièces à ajouter et les opérations à effectuer. Comme un chef d’orchestre, elle ordonne, sous la surveillance d’opérateurs augmentés, un ballet ininterrompu de robots, de convoyeurs, d’imprimantes 3D, capables de produire à la chaîne des articles uniques.

De la transformation de la production à celle de l’activité : l’exemple des pièces détachées

Pour les constructeurs automobiles, la gestion des pièces détachées est un vrai défi. Combien en avoir en réserve ? Où les stocker pour en disposer rapidement ? En équipant les véhicules et leurs composants de capteurs, l’intelligence artificielle permettra d’en anticiper les pannes. On aura donc le temps de commander la pièce adéquate, voire de la produire directement sur une imprimante 3D chez un concessionnaire proche du client. Non seulement les stocks deviennent inutiles, mais la sécurité et la qualité du service sont améliorées. Et l’on peut aller encore plus loin ! Grâce à cette organisation, le constructeur pourra proposer à ses clients des contrats toutes pièces et main d’œuvre extrêmement compétitifs. Il ne vendra plus des voitures mais des kilomètres garantis sans incident sous forme d’abonnement.

Comme le montrent ces exemples, l’industrie du futur ne se limite pas à l’utilisation de technologies émergentes, comme l’impression 3D, la réalité augmentée ou l’intelligence artificielle. La grande nouveauté est que ces nouvelles solutions et les machines existantes sont désormais interconnectées. Et leur dialogue permanent ouvre de telles possibilités qu’elles conduisent à s’interroger sur ce que l’on vend, ce que l’on produit, où, quand et comment on le produit… Bref, tout est remis en question. Et c’est cela qui est révolutionnaire.

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