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Cinq idées reçues sur l'environnement de travail durable


Publié le: 16 janvier 2024 par Atos

Vous souhaitez améliorer la durabilité de votre parc informatique, mais vous ne savez pas par où commencer. Vous envisagez d'acheter des appareils reconditionnés mais vous redoutez une baisse de performance, de sécurité, voire un rejet de la part de vos employés. Regardons comment il est possible d’y faire face.

Heureusement, le chemin vers l'informatique durable est beaucoup plus simple que vous ne le pensez. Vous n'avez pas besoin de choisir entre tenir vos engagements pour la planète ou garantir la sécurité et l'efficacité de votre entreprise. Etudions cinq idées reçues sur l'informatique durable et les équipements utilisés par vos collaborateurs.

Idée reçue n°1 : Le cloud est le premier responsable de l'empreinte carbone de l’informatique.

Les journalistes ont déjà largement couvert cette question. Internet est peut-être invisible, mais il est loin d’être neutre en carbone. Alors que les géants du cloud continuent de construire des data centers pour répondre à la demande, l’empreinte carbone du cloud continue d’augmenter en parallèle. Cependant, le cloud est loin d’être la principale source d’émissions carbone des entreprises. Ce sont les équipements des employés qui en sont le premier émetteur, bien loin devant le cloud.

Comptez 400 Kg d’émissions carbone pour un écran d’ordinateur externe, 300 Kg pour un ordinateur portable ou encore 50 Kg pour un smartphone. Ajoutez-y des imprimantes, des casques, des claviers, des souris et vous obtenez un résultat loin d’être négligeable. Plus de 50 % des émissions carbone de l’informatique en entreprise proviennent de l’environnement de travail, soit deux fois plus que les data centers. Et si vous regardez encore un peu plus près, c’est la fabrication, et non le fonctionnement de ces appareils, qui a le plus fort impact.

Idée reçue n°2 : Il n'existe qu'une seule option pour garantir que vos employés disposent d’équipements fonctionnels : les remplacer régulièrement.

La plupart des organisations remplacent régulièrement tous leurs équipements pour les maintenir à jour, soit tous les deux à cinq ans. Cela implique qu’un nombre important d’appareils parfaitement fonctionnels sont inutilement remplacés. Une solution plus efficace consiste à utiliser des analyses automatisées de l’environnement de travail pour évaluer chaque appareil individuellement et ainsi décider du meilleur moment pour le remplacer.

Ces analyses mesurent des centaines de paramètres différents, tels que le fonctionnement de la batterie, du disque dur et de la mémoire ainsi que le temps de réponse du réseau, ou encore la fréquence d'apparition d'un message d’erreur du système. Sur la base de ces facteurs, chaque appareil reçoit une note permettant de déterminer s'il fonctionne toujours correctement, ou s'il nécessite une réparation rapide, une actualisation plus approfondie ou s'il doit être remplacé.

Même si l’appareil est en fin de vie, cela ne signifie pas pour autant qu’il doit être envoyé à la décharge. Atos travaille par exemple avec des partenaires qui recyclent ou réutilisent ces équipements en les proposant à des œuvres caritatives ou à des écoles.

Idée reçue n°3 : La remise à neuf et le reconditionnement sont une seule et même chose.

Bien que ces deux termes soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils ont en réalité des significations différentes. Un appareil reconditionné est un produit d'occasion qu’on a rénové. Il a été nettoyé, a subi une réinitialisation aux paramètres d'usine, sa mémoire a été effacée… Il est important de noter que le reconditionnement prend plus de temps que la remise à neuf. Ainsi, le reconditionnement n’est certainement pas la meilleure option pour une entreprise cherchant à reconditionner un grand nombre d’appareils dans un temps réduit.

La remise à neuf, en revanche, est un processus industriel. L'appareil est envoyé dans une usine appropriée où il est entièrement démonté et reconstitué dans un état neuf. Une fois passé par cette étape, il devient pratiquement impossible de le distinguer d'un appareil acheté dans le commerce. Il offre aux collaborateurs une nouvelle expérience, tant en termes de fonctionnalités que de performances. Toutefois, les appareils les moins chers ont tendance à être plus difficiles à remettre à neuf car leur qualité inférieure les rend plus difficiles à démonter et reconstituer.

Même si la remise à neuf a un impact carbone légèrement plus important que le reconditionnement, les deux approches restent bien moins polluantes que l’achat d’un équipement neuf. Et dans un cas comme dans l’autre, l’équipement rénové devrait fonctionner sans problème pendant encore quelques années. Chaque approche est donc unique et la meilleure option dépend des besoins de chaque entreprise.

Idée reçue n°4 : Les appareils d’occasion sont moins sécurisés.

Les appareils d'occasion présentent leurs propres défis en matière de sécurité. Il arrivera forcément un moment où le fabricant de l'équipement d'origine (OEM) n'appliquera plus de correctifs de sécurité au BIOS (Basic Input/Output System) ou aux pilotes. Cela pose donc effectivement un risque en matière de cybersécurité.

Cependant, il existe des solutions de contournement puisque les contrôles de sécurité appliqués dans un environnement ne doivent pas nécessairement être appliqués à l'appareil lui-même. Par exemple, vous pouvez appliquer une stratégie Zero Trust dans votre entreprise tout en mettant en place un contrôle de sécurité au niveau de votre réseau, de sorte qu’en cas de vulnérabilité, le réseau qui contrôle l'environnement permet de s’assurer que l’appareil est protégé. Il existe également des solutions telles que le correctif virtuel, une solution logicielle qui peut arrêter l'incident de sécurité dès qu'une anomalie est détectée.

Ces risques ne peuvent être ignorés, mais il existe tant de stratégies d’atténuation que cela ne devrait pas empêcher votre organisation d’adopter cette solution à plus faible impact environnemental.

Idée reçue n°5 : La durabilité est une stratégie du tout ou rien.

La transition vers un environnement de travail durable ne doit pas nécessairement se faire d’un seul coup. Il est en réalité préférable de progresser par étape. Par exemple, vous pouvez commencer par un programme pilote ciblant 5 ou 10 % de vos équipements et/ou une catégorie d’utilisateurs spécifique. Comme tout changement de politique, cela peut rendre les employés nerveux, c’est pourquoi il vaut mieux commencer par prouver que cela peut fonctionner. Ainsi, cela donnera à chacun un sentiment de sécurité, de fiabilité et de performance.

Enfin, lorsque vous vous engagez dans cet objectif de durabilité de l’environnement de travail, rappelez-vous que cela va au-delà des équipements et de la consommation d'énergie. Il y a aussi un volet social, qu’il s’agisse de soutenir les personnes en situation de handicap, de veiller à ce que les appareils soient produits par des travailleurs bénéficiant de conditions décentes de travail ou que les téléphones et ordinateurs qui arrivent en fin d’utilisation puissent avoir une seconde vie dans les pays en développement ou être utilisés à d'autres fins sociales.

Ces aspects sont essentiels pour rendre votre environnement de travail véritablement durable et ne doivent pas être négligés et c’est justement là qu’Atos peut vous accompagner.

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