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De cloud first à cloud smart

L’adoption des technologies cloud est devenue une étape incontournable pour les entreprises. Faut-il pour autant se lancer tête baissée dans une approche cloud first ?

Le recours au cloud est désormais pratique courante. Quel que soit leur secteur d’activité, chefs d’entreprise et responsables technologiques sont acquis aux bénéfices du cloud : une meilleure agilité, une plus grande efficacité et une plus forte résilience. La preuve, 80 % des entreprises devraient avoir fermé leurs datacenters d’ici 2025.

Le fardeau des datacenters pour les entreprises

L'immobilier coûte cher. Les datacenters d’anciennes générations ne sont pas vraiment économes en énergie. Leur exploitation exige des investissements conséquents et des compétences technologiques de plus en plus rares. Il est donc logique que les entreprises mettent en place des stratégies de sortie lorsque les contraintes de souveraineté le permettent. C’est d’ailleurs un sujet sur lequel Atos accompagne ses clients depuis plus d’une décennie. En étroite collaboration avec eux, nous avons, depuis 2010, fermé 112 datacenters et déplacé des centaines d’applications vers le cloud.

Les entreprises se tournent vers les services cloud des hyperscalers qui proposent un modèle de paiement à l’usage. Propulsés par l’automatisation et déployés via des API accessibles depuis internet, leur mode de consommation garantit rapidité et flexibilité. Il n'est donc pas surprenant que de plus en plus de grandes entreprises se tournent vers le cloud public.

Mais la migration de toutes les applications vers le cloud public est-elle la meilleure des stratégies pour fermer un datacenter ? Je suis convaincu que non.

Comment éviter le casse-tête de la migration sans fin ?

Selon Gartner, le cloud computing passera du statut de disrupteur technologique aujourd’hui, à celui de facteur essentiel de compétitivité des entreprises d’ici 2028. Les dépenses IT de cloud public ne cessent d'augmenter.

En 2023, 50 % des entreprises avaient migré des applications vers le cloud public et 7 % prévoyaient d’y déplacer des applications supplémentaires au cours des 12 prochains mois. Or, selon une étude récente, moins de 10 % des plus grandes organisations ont réussi à migrer des applications critiques vers le cloud.

Ces statistiques témoignent de la réalité vécue par les grandes entreprises. Leur paysage applicatif est hétérogène. Certaines applications sont impossibles à migrer sans refonte majeure. D'autres ne peuvent tout simplement pas l’être. Sans la bonne approche, migrer vers le cloud public peut vite s’apparenter à une histoire sans fin. C'est pourquoi la clé d’une stratégie cloud first réussie réside dans la capacité à répondre à la question suivante « Quelle est la bonne plateforme technique pour chacune de mes applications ? »

le cloud computing passera du statut de disrupteur technologique aujourd’hui, à celui de facteur essentiel de compétitivité des entreprises d’ici 2028. Les dépenses IT de cloud public ne cessent d'augmenter.

Gartner, novembre 2023.

Priorité à l’applicatif

Tout programme de migration vers le cloud devrait être structuré par les applications. En d'autres termes, le design des infrastructures y compris cloud nécessite de savoir à quelles applications elles sont destinées. Imagine-t-on concevoir un pont sans savoir dès le démarrage du projet s’il sera emprunté par des piétons, des trains ou des voitures ?

Cette cartographie doit être réalisée avant de décider quel volume de capacité cloud commander et auprès de quel fournisseur. Il n’est pas rare de voir des entreprises acheter des ressources sur le cloud public et découvrir ensuite des surcapacités à hauteur de 30 à 40 %. Les recherches menées par les analystes confirment cette observation ;

Votre transformation cloud en sept questions clés

L’intervention d’un expert est nécessaire pour concevoir votre plan de transformation en fonction de la stratégie globale de votre entreprise, de votre plan de refonte des applications, de l’évaluation des caractéristiques précises de chacune de vos applications et, bien sûr, des données qui leur sont associées. Voici en sept questions, les sujets à explorer :

  1. Cette application est-elle techniquement éligible à une migration cloud ?
  2. La consommation de ressources est-elle constante ou variable ?
  3. Quand cette application sera-t-elle remplacée ou redéveloppée ?
  4. Les services proposés par les hyperscalers présentent-ils des avantages particuliers pour cette application ?
  5. Y a-t-il des exigences de souveraineté ou des problématiques d’accès à vos données ou à leur sécurité ?
  6. Quelles sont les interactions avec le reste de votre environnement informatique, notamment en termes d’échange de données et de latence ?
  7. Quel est le coût du cloud par rapport à d'autres options ?

Selon les réponses, en tenant compte du contexte de l’entreprise dans son ensemble et sur la base d’une analyse détaillée des interdépendances entre les applications, il sera possible d’élaborer un plan de migration cloud smart, avec une feuille de route pour chaque application.

Surmonter la complexité

S’il vaut la peine de migrer vers le cloud, il est important de tenir compte du temps qu’exigent les phases d’élaboration, de planification et d’exécution, dès lors que le projet concerne des systèmes informatiques existants.

Qui plus est, le cloud public n'est pas toujours la solution la plus rentable. Par exemple, une plateforme mainframe fournie par un prestataire de services expert de ce domaine pourra s’avérer plus adaptée à un traitement complexe par lots ou une charge de travail transactionnelle lourde et critique. Tout plan de fermeture d’un datacenter devrait prévoir des alternatives au cloud public : cloud privé, infrastructures sur sites ou hébergées dans des centres de données tiers fournis par des intégrateurs de systèmes ou des fournisseurs de services de colocation.

La bonne approche : cloud first ET cloud smart

Orchestrer la sortie d’un datacenter avec l’approche cloud smart nécessite une expertise spécifique. Si vous n’êtes pas prêt à temps, les conséquences peuvent s’avérer douloureuses en termes de coût d’extension du contrat ou de pénalités contractuelles. Si une échéance immobilière conditionne la date de sortie de votre centre de données, l’approche à privilégier sera de découpler les calendriers de sortie et de migration vers le cloud.

Ce qui veut dire accepter que certaines applications - une fois qu'elles ont quitté votre datacenter - n’atterrissent pas immédiatement dans le cloud.

Le cloud est indéniablement clé dans l’évolution des environnements informatiques des entreprises. Mais il n’est pas le seul. Il ne s’agit pas tant d’être cloud first que d’adopter l’approche la plus judicieuse et efficace possible, celle à laquelle on reconnaît une entreprise cloud smart.

Publié le : 11 octobre 2024

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