Notre site Web utilise des cookies pour vous offrir l’expérience en ligne la plus optimale en : mesurant notre audience, en comprenant comment nos pages Web sont consultées et en améliorant en conséquence le fonctionnement de notre site Web, en vous fournissant un contenu marketing pertinent et personnalisé.
Vous avez un contrôle total sur ce que vous souhaitez activer. Vous pouvez accepter les cookies en cliquant sur le bouton « Accepter tous les cookies » ou personnaliser vos choix en sélectionnant les cookies que vous souhaitez activer. Vous pouvez également refuser tous les cookies non nécessaires en cliquant sur le bouton « Refuser tous les cookies ». Veuillez trouver plus d’informations sur notre utilisation des cookies et comment retirer à tout moment votre consentement sur notre Vie Privée.

Gestion de vos cookies

Notre site Web utilise des cookies. Vous avez un contrôle total sur ce que vous souhaitez activer. Vous pouvez accepter les cookies en cliquant sur le bouton « Accepter tous les cookies » ou personnaliser vos choix en sélectionnant les cookies que vous souhaitez activer. Vous pouvez également refuser tous les cookies non nécessaires en cliquant sur le bouton « Refuser tous les cookies » .

Cookies nécessaires

Ceux-ci sont indispensables à la navigation de l’utilisateur et permettent de donner accès à certaines fonctionnalités comme les accès aux zones sécurisées. Sans ces cookies, il ne sera pas possible de fournir le service.
Matomo en auto-hébergement

Cookies marketing

Ces cookies sont utilisés pour vous proposer des publicités plus pertinentes, limiter le nombre de fois que vous voyez une publicité ; aider à mesurer l’efficacité de la campagne publicitaire ; et comprendre le comportement des individus après avoir vu une publicité.
Vie Privée Adobe | Vie Privée Marketo | Vie Privée MRP | Vie Privée AccountInsight | Vie Privée Triblio

Cookies de réseaux sociaux

Ces cookies sont utilisés pour mesurer l’efficacité des campagnes sur les réseaux sociaux.
Vie Privée de LinkedIn

Notre site Web utilise des cookies pour vous offrir l’expérience en ligne la plus optimale en : mesurant notre audience, en comprenant comment nos pages Web sont consultées et en améliorant en conséquence le fonctionnement de notre site Web, en vous fournissant un contenu marketing pertinent et personnalisé. Vous avez un contrôle total sur ce que vous souhaitez activer. Vous pouvez accepter les cookies en cliquant sur le bouton « Accepter tous les cookies » ou personnaliser vos choix en sélectionnant les cookies que vous souhaitez activer. Vous pouvez également refuser tous les cookies non nécessaires en cliquant sur le bouton « Refuser tous les cookies ». Veuillez trouver plus d’informations sur notre utilisation des cookies et comment retirer à tout moment votre consentement sur notre Vie Privée

Passer au contenu principal

Avec le cloud, le secteur public change de moteur

Par Frédéric Malicki, CTO South Europe, Secteur Public & Défense, Atos

et Laurent Laffere, Responsable commercial Cloud, Secteur Public & Défense, Atos

Vitesse, souplesse, robustesse, innovation, sécurité, le cloud coche toutes les exigences d’acteurs publics désormais engagés dans une transformation accélérée. Mais le facteur humain reste la clé de la réussite.

Le gouvernement s’est fixé pour but de rendre les 250 démarches administratives les plus courantes accessibles en ligne d’ici 2022. Atteindre cet objectif nécessite d’aller vite et, notamment, ne pas perdre de temps dans la mise à disposition des environnements techniques nécessaires aux équipes de développement. De ce point de vue, le cloud est incontournable car sa rapidité de mise en œuvre est sans égale.

Dans un contexte où les acteurs publics doivent s’accorder aux évolutions de plus en plus rapides de la société, la vitesse est l’un des principaux atouts du cloud, mais ce n’est pas le seul…

Élasticité des ressources :

le cloud a la capacité de s’adapter facilement à la charge, ce qui permet d’absorber les pics de connexions (déclarations fiscales, résultats d’examens…) comme d’accompagner la montée en charge progressive de nouveaux services en ligne dont il est difficile de planifier l’adoption.

Qualité de service :

grâce à la consolidation des ressources et des expertises, le cloud offre des niveaux de performance, de disponibilité et de sécurité très supérieurs à ce que l’on peut espérer atteindre dans son propre data center.

Briques d’innovation :

le cloud propose des infrastructures techniques « nues » (IaaS), mais aussi un certain nombre de fonctionnalités prêtes à l’emploi dans de nombreux domaines innovants : intelligence artificielle, Internet des objets, automatisation… Ces briques standard (PaaS) permettent de fabriquer des applications et outils avancés pour les agents (analyse et reporting, collaboration, GED…) comme pour les citoyens (espaces personnels, applications mobiles…).

Maîtrise budgétaire :

à condition de mettre en place des règles d’utilisation et de gestion rigoureuses, la tarification à l’usage permet de piloter plus finement ses budgets et de pouvoir affecter ses crédits avec plus de souplesse.

Modernisation de l’informatique :

le cloud contribue à résorber la dette technique, permet de faire évoluer les compétences des agents en place, et améliore l’attractivité des DSI du secteur public pour les nouveaux profils dont elles ont besoin.

Grâce à son approche standard et ouverte des infrastructures, le cloud facilite en outre la collaboration et le partage de données, un double besoin qui est au cœur de la transformation des organisations publiques. Enfin, en adoptant le cloud et en l’imposant comme choix par défaut (Cloud au centre), l’Etat montre l’exemple de la transformation numérique du pays qu’il appelle de ses vœux et, par ses choix de partenaires, peut contribuer à soutenir le développement d’entreprises technologiques innovantes françaises et européennes.

Une doctrine cloud pour l’État

Tout en reconnaissant ces bénéfices, le secteur public a longtemps eu des réserves envers le cloud, d’autant qu’il ne disposait pas de véhicule contractuel adapté. Aussi, pour encadrer et accélérer son adoption par les services de l’État, la DINUM a établi en 2018 une doctrine d’utilisation. La nouvelle mouture, dévoilée en mai 2021, consacre le paysage actuel, et introduit le label « Cloud de confiance » regroupant les cercles 1 et 2 précédemment définis. Le premier cercle, dit « Cloud public», est constitué des clouds privés développés dans le giron de l’État tels Nubo par la Direction générale des Finances publiques et PI par le ministère de l’Intérieur. Ces environnements à vocation interministérielle pourront accueillir les données, les traitements et les applications les plus sensibles.

Dans le second cercle, dit « Cloud commercial», on trouve les offres commerciales répondant à certain nombre de critères, notamment en matière de sécurité (certification SecNumCloud) et de protection contre l’extra-territorialité. Ces services sont disponibles pour les acteurs publics via des centrales d’achat comme l’UGAP.

Dans ce second cercle, seront susceptibles de figurer des offres appliquant les principes définis par GAIA-X. GAIA-X, dont Atos est l’une des chevilles ouvrières, est une initiative européenne qui vise à élaborer des normes, des architectures de standards et des cas d’usage prêts à l’emploi. Les services cloud qui entreront dans ce cadre apporteront à leurs clients des garanties renforcées en termes de souveraineté, de sécurité, de portabilité et d’interopérabilité, ainsi que de nouvelles possibilités, notamment en matière de partage et d’exploitation des données.

Un défi humain avant tout

Tous ces développements montrent que l’obstacle n’est plus technologique. Pour toutes les organisations, publiques comme privées, le cloud constitue un changement radical dans la façon d’aborder l’informatique avec une profonde évolution des rôles, des processus et des tâches. L’enjeu est donc avant tout humain, surtout là où les habitudes sont ancrées de longue date. Pour fléchir les réticences et adapter les compétences, il faut donc accompagner le passage au cloud par l’explication, l’écoute, le dialogue et la mise en place de plans de formation et d’évolution des carrières.

Avec ses multiples avantages, le cloud peut permettre à l’État d’accélérer sa transformation et de concrétiser ses ambitions numériques. Mais le cloud n’est pas un simple substitut externalisé aux infrastructures traditionnelles ; c’est un nouveau moteur, plus rapide, plus puissant, qui impose de réapprendre à conduire si l’on veut en exploiter tout le potentiel. De l’évaluation de l’intérêt de basculer vers le cloud à la mise en œuvre de solutions souveraines, de l’accompagnement des agents vers de nouveaux métiers et de nouvelles compétences à la mise en place de nouveaux processus de développement, Atos aide les organisations publiques à se réinventer pour et avec le cloud.

Des infrastructures souveraines

Pionnier du numérique sécurisé et décarboné, Atos occupe une position unique pour contribuer à la construction et au déploiement d’un espace numérique européen souverain, comme en témoignent ses solutions d’informatique avancée – depuis le Edge Computing, le calcul haute performance, les supercalculateurs, les serveurs d’entreprise (gamme BullSequana) et le quantum computing. La France est l’épicentre de cette force technologique et Atos y conserve ses unités de production et de R&D. Son site historique d’Angers est devenu Centre mondial d’Essais des Supercalculateurs. Récemment, un nouveau laboratoire mondial de R&D dédié à la cybersécurité, au calcul haute performance et à l’informatique quantique a été inauguré aux Clayes-sous-bois dans les Yvelines

Atos OneCloud : la confiance pour accélérer la transformation digitale

L’ambition d’Atos repose sur une conviction profonde : un cloud de confiance européen ne peut exister que s’il répond aux besoins des utilisateurs à tous les niveaux, tout en garantissant la liberté de choix, les plus hauts niveaux de sécurité, l’interopérabilité et la portabilité des services. Afin de consolider son positionnement en tant que tiers de confiance, Atos enrichit en permanence ses capacités pour accélérer la transformation numérique de ses clients. En 2020, le Groupe a ainsi lancé Atos OneCloud, un guichet unique d’offres cloud soutenu par près de 2 milliards d’euros d’investissements.

Dans ce contexte, Atos et OVHcloud ont annoncé en 2021 la signature d’un partenariat stratégique pour fournir aux organisations publiques et entreprises des capacités et des services cloud de confiance, basés sur des infrastructures souveraines et soutenus par la signature du « Pacte pour des centres de données climatiquement neutres ».

Par ailleurs, l’offre de cyber sécurité d’Atos répond aux principaux défis de souveraineté des données des administrations, des entreprises et des citoyens. Les produits de cybersécurité d’Atos sont reconnus et qualifiés, au plus haut niveau, par l’agence de cybersécurité française (l’ANSSI), par l’Union Européenne, ainsi que par l’OTAN. D’autre part, en tant que membre fondateur de Gaia-X, Atos fournit des garanties de conformité avec le futur cadre Gaia-X et d’autres réglementations européennes de protection des données.

Réservez ici votre atelier « Innovation in a box »,
un parcours personnalisé en 60 minutes !

  • Choisissez un ou plusieurs sujets « brûlants » de votre activité
  • Nous personnalisons ensemble l’agenda
  • Nous réunissons pour vous : experts, démos, cas d’usage
  • Atelier à distance ou sur place
  • Exemples d’ateliers : Souveraineté, cybersécurité,
    plateformes de données, décarbonation et écologie urbaine, …

Demandez votre atelier