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L’heure de l’accélération

Par Hélène Bringer, Directrice du Secteur Public et Défense en France, Atos

En première ligne face aux crises, l’État a la responsabilité d’en minimiser les impacts et d’en tirer tous les enseignements. Or, pour beaucoup de Français, la crise sanitaire a agi comme un électrochoc digital, précipitant l’adoption d’une multitude d’outils et de services aussi bien personnels que professionnels.

Comme partout dans le monde, l’une des conséquences majeures de la pandémie aura été la formidable accélération du numérique, et l’État, qui doit évoluer au rythme de la société, l’a bien perçu. Aujourd’hui, pour continuer à satisfaire les citoyens, les administrations doivent leur offrir des services en accord avec leurs nouveaux usages, c’est-à-dire dématérialisés, connectés, mobiles, rapides et toujours disponibles.

Cette préoccupation se retrouve dans le plan France Relance et l’accélération de la « remise à niveau numérique » des services de l’État, comme en témoignent la disponibilité en ligne des 250 démarches les plus utilisées d’ici 2022 ou encore la définition d’une stratégie nationale pour le cloud.

Pour cela, il n’est plus question de créer, comme jadis, des systèmes pour une génération. L’évolution combinée des usages, des textes et des technologies est désormais beaucoup trop rapide. À l’image de l’application TousAntiCovid, les services ne disposent parfois que de quelques jours, pour ne pas dire quelques heures, pour traduire sous forme digitale les décisions gouvernementales. Aujourd’hui, en matière de numérique, l’enjeu prioritaire pour l’État est d’introduire de la vitesse à tous les niveaux, ce qui suppose des changements technologiques mais aussi de méthodes.

Les administrations et les grands organismes publics utilisent de longue date l’informatique, et contrairement à certaines idées reçues, ils ont toujours investi, innové et bâti des solutions performantes. Pourtant, ils doivent faire face à des contraintes tenaces :

  • une lourde dette technologique due à la taille, à la complexité et à l’ancienneté des systèmes historiques. Dans les grandes organisations, on estime que sont consacrés jusqu’à 70 % des budgets informatiques à l’exploitation et à la maintenance de l’existant, ce qui limite d’autant les moyens alloués aux nouveaux développements ;
  • un manque d’interopérabilité entre les systèmes, souvent développés de façon indépendante, cloisonnée, avec des préoccupations métiers et des orientations technologiques différentes ;
  • des budgets sous pression, l’informatique n’étant souvent considérée que comme un charge nécessaire, et non comme un investissement permettant de dégager des marges de manœuvre ;
  • une fracture numérique persistante, qui freine, d’abord, le lancement des projets, puis leur adoption par les utilisateurs finaux, agents ou citoyens.

À ces écueils structurels, il faut ajouter des aspects caractéristiques du secteur public et auquel il faut particulièrement veiller :

  • l’universalité du service, qui doit être accessible de façon continue sur l’ensemble du territoire, y compris par les personnes qui ne peuvent pas, ou ne souhaitent pas, utiliser le numérique ;
  • le caractère confidentiel des données manipulées, qu’elles concernent les citoyens, les entreprises, les agents ou l’État lui-même ;
  • la sensibilité du contexte politique, social et culturel entourant les projets et, par exemple, le choix des partenaires technologiques ;
  • la criticité de la conduite du changement, le numérique restant parfois davantage perçu comme une menace plutôt que comme une aide.

Tous ces facteurs exigent d’avancer avec prudence, ce qui ne favorise pas la vitesse. Surtout, ils rendent impossible d’adopter à l’identique certaines méthodes popularisées par les startups du digital.

Les organisations publiques doivent donc les adapter pour pouvoir relever, dans chaque projet, 5 défis clés :

Évolutivité : comment valoriser les investissements passés et ne pas creuser davantage la dette technologique en multipliant des systèmes qu’il sera difficile de maintenir dans la durée ?

Fiabilité : comment mener la transformation numérique en assurant quoi qu’il arrive la continuité du service public ?

Ouverture : comment favoriser le partage d’information, la coopération entre les services et la collaboration avec le secteur privé, notamment dans le cadre de filières d’avenir ou d’industries structurantes (énergie, télécoms, transport, logistique…) ?

Durabilité : comment être exemplaire du point de vue sociétal et environnemental, et contribuer à la transition écologique ?

Sécurité et la souveraineté : comment se prémunir des risques et s’assurer de conserver l’entière maîtrise des systèmes mis en œuvre ?

Aujourd’hui, on constate une évolution sensible de la doctrine de l’Etat et de ses méthodes avec une volonté accrue de réinternaliser des ressources jugées stratégiques, de partager et mutualiser les initiatives entre les services, d’obtenir des résultats concrets et rapides, de mesurer les progrès (voir le baromètre des résultats de l’action publique) et de prendre davantage en compte les attentes et les remarques des utilisateurs, agents ou administrés. Ces orientations se sont d’ores et déjà traduites par une nette accélération de la diffusion de nouvelles méthodes avec de plus en plus de projets réalisés en mode agile.

Le rôle d’un prestataire tel qu’Atos n’est pas seulement de fournir des solutions technologiques, mais d’apporter de nouvelles méthodes de travail, d’insuffler de nouvelles façons d’envisager le numérique et d’accompagner tous les acteurs, à tous les niveaux, dans cette transformation. La co-construction, la co-innovation, le partage d’expérience font partie de notre ADN. Notre ambition est de le transmettre aux institutions publiques pour qu’elles développent leurs propres pratiques du numérique, et soient ainsi en mesure d’inventer le service public de demain.

Prêt pour l’Open Source !

Le rapport Bothorel a souligné l’importance du recours aux logiciels libres dans les systèmes d’information de l’Etat. En réduisant la dépendance aux logiciels, en impulsant partage et mutualisation, en enrichissant les outils, l’open source participe pleinement à la réponse aux enjeux de souveraineté numérique.

Atos s’est investi très tôt dans l’écosystème français des logiciels libres en créant une division Open Source (Open Source Center), il y a près de 20 ans. Ses experts sont engagés dans plus de 60 communautés, sont à l’actif de nombreuses contributions (logiciels, patchs, articles techniques et documentations) et veillent au respect du modèle vertueux des logiciels libres, avec notamment une politique de 100% reversements. Atos est à l’origine, et son principal contributeur, de la méthodologie QSOS (www.qsos.org) utilisée pour l’évaluation de l’apport des Logiciels libres et Open Source.

Atos a également choisi cette démarche pour ses propres plateformes digitales, à l’instar de sa plateforme soutenant les projets de territoires intelligents, basée sur le framework Open source Fiware, ainsi que la plate-forme Open Source Alien4Cloud ( https://alien4cloud.github.io/ ).

Au cœur de sa démarche : une communauté d’experts couvrant un spectre technologique complet (des infrastructures Linux aux logiciels avancés d’Intelligence Artificielle, de la donnée, de l’environnement de travail, en passant par la maîtrise des logiciels Open Source) et un centre de support, aguerri aux meilleures pratiques d’industrialisation et apportant la veille technologique nécessaire à leurs clients pour rester à l’état de l’art.

En avril 2021, Atos a remporté un marché public de 4 ans pour assurer le support et la maintenance corrective des 350 logiciels libres utilisés par l’ensemble des ministères français. Il s’agit du plus grand marché de support open source en France. En juin 2021, c’est la CNAM qui a choisi Atos pour apporter son offre de support et d’expertise Open Source autour de 130 logiciels libres.

Pour ces contrats, Atos travaille en partenariat avec le Conseil national du logiciel libre (CNLL) qui fédère l’écosystème des sociétés françaises spécialisées dans l’open source.

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  • Exemples d’ateliers : Souveraineté, cybersécurité,
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