Notre site Web utilise des cookies pour vous offrir l’expérience en ligne la plus optimale en : mesurant notre audience, en comprenant comment nos pages Web sont consultées et en améliorant en conséquence le fonctionnement de notre site Web, en vous fournissant un contenu marketing pertinent et personnalisé.
Vous avez un contrôle total sur ce que vous souhaitez activer. Vous pouvez accepter les cookies en cliquant sur le bouton « Accepter tous les cookies » ou personnaliser vos choix en sélectionnant les cookies que vous souhaitez activer. Vous pouvez également refuser tous les cookies non nécessaires en cliquant sur le bouton « Refuser tous les cookies ». Veuillez trouver plus d’informations sur notre utilisation des cookies et comment retirer à tout moment votre consentement sur notre Vie Privée.

Gestion de vos cookies

Notre site Web utilise des cookies. Vous avez un contrôle total sur ce que vous souhaitez activer. Vous pouvez accepter les cookies en cliquant sur le bouton « Accepter tous les cookies » ou personnaliser vos choix en sélectionnant les cookies que vous souhaitez activer. Vous pouvez également refuser tous les cookies non nécessaires en cliquant sur le bouton « Refuser tous les cookies » .

Cookies nécessaires

Ceux-ci sont indispensables à la navigation de l’utilisateur et permettent de donner accès à certaines fonctionnalités comme les accès aux zones sécurisées. Sans ces cookies, il ne sera pas possible de fournir le service.
Matomo en auto-hébergement

Cookies marketing

Ces cookies sont utilisés pour vous proposer des publicités plus pertinentes, limiter le nombre de fois que vous voyez une publicité ; aider à mesurer l’efficacité de la campagne publicitaire ; et comprendre le comportement des individus après avoir vu une publicité.
Vie Privée Adobe | Vie Privée Marketo | Vie Privée MRP | Vie Privée AccountInsight | Vie Privée Triblio

Cookies de réseaux sociaux

Ces cookies sont utilisés pour mesurer l’efficacité des campagnes sur les réseaux sociaux.
Vie Privée de LinkedIn

Notre site Web utilise des cookies pour vous offrir l’expérience en ligne la plus optimale en : mesurant notre audience, en comprenant comment nos pages Web sont consultées et en améliorant en conséquence le fonctionnement de notre site Web, en vous fournissant un contenu marketing pertinent et personnalisé. Vous avez un contrôle total sur ce que vous souhaitez activer. Vous pouvez accepter les cookies en cliquant sur le bouton « Accepter tous les cookies » ou personnaliser vos choix en sélectionnant les cookies que vous souhaitez activer. Vous pouvez également refuser tous les cookies non nécessaires en cliquant sur le bouton « Refuser tous les cookies ». Veuillez trouver plus d’informations sur notre utilisation des cookies et comment retirer à tout moment votre consentement sur notre Vie Privée

Passer au contenu principal

Accélérer la décarbonation du numérique et de l’économie

Par Yann Josse, Senior Business Manager secteur public EcoAct, Atos, et Guillaume Bonnentien, Directeur technique Europe du Sud EcoAct, Atos

Face au grand défi environnemental qui attend l’État et les administrations ces prochaines années, le numérique fait indéniablement partie des solutions. À condition qu’il soit lui-même vertueux et qu’il minimise ses impacts.

Devenir la première grande économie décarbonée européenne, telle est l’ambition inscrite par le gouvernement au fronton du plan France Relance, qui consacre 30 milliards d’euros à la transition écologique à travers quatre chantiers prioritaires : la rénovation énergétique des bâtiments, les transports, la transition agricole et l’énergie. Bien que ne figurant pas dans cette liste, le numérique n’en aura pas moins un rôle déterminant pour atteindre l’objectif et concrétiser la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC).

Présentée début 2021, la feuille de route « numérique et environnement » détaille cette contribution attendue du numérique. Soulignant la nécessité de « faire converger les transitions » digitales et environnementales dans un seul élan de transformation, ce document dégage trois axes clés : mesurer l’empreinte environnementale du numérique, soutenir un numérique plus sobre et plus responsable, et utiliser le numérique comme outil d’innovation et d’optimisation vertes. Sur chacun de ces trois axes, l’État a le devoir d’être à la fois exemplaire et moteur, et Atos peut l’y aider.

1. La mesure, l’indispensable point de départ

On estime que le numérique représente aujourd’hui environ 4 % des émissions mondiales de CO2, soit quatre fois plus que la France elle-même. L’une des difficultés est que ces émissions, au contraire de celles d’un avion ou d’une usine, sont le plus souvent imperceptibles. Il est difficile pour tout un chacun d’avoir conscience du coût environnemental d’une application inutilement ouverte ou du stockage de documents sur son PC, dans le cloud ou dans un mail, négligemment conservé. Pour réduire l’impact du numérique, il faut commencer par le mesurer.

L’État et ses services doivent définir une méthodologie pour mesurer l’empreinte environnementale globale de leurs systèmes numériques, c’est-à-dire sur l’ensemble de leur cycle de vie (la production des équipements est de loin l’étape la plus néfaste) et au-delà des seuls gaz à effet de serre (pour éviter les transferts d’impacts, ou encore prendre en compte l’épuisement des ressources naturelles)

Toutes les dimensions du système d’information doivent être passées au crible : matériels, logiciels, réseaux, data centers, données, usages, chaînes d’approvisionnement, prestations de service… Dès lors, on peut établir des scénarios de transformation conformes aux objectifs nationaux de réduction des émissions à moyen et long termes.

Si la réflexion doit démarrer en amont de l’achat, le suivi des actions et l’évaluation des résultats obtenus, mesurés régulièrement par des indicateurs robustes, permettront d’ajuster en permanence tout en prenant en compte l’évolution des objectifs de l’État, des usages, des connaissances scientifiques, de la réglementation, etc.

2. Décarboner le numérique de l’État

Pour tenir la trajectoire ainsi définie et bâtir des services numériques éco-responsables exemplaires, les acteurs publics devront engager des actions concrètes. Historiquement, le Green IT s’est beaucoup focalisé sur l’optimisation énergétique des data centers, mais, avec l’essor du cloud et les progrès déjà réalisés, ce sujet ne doit plus occulter les autres voies d’amélioration, à commencer par les achats. Analyser la filière de production des équipements, établir des scénarios permettant de les utiliser davantage et plus longtemps (réaffectation, mutualisation…) et se tourner vers des produits reconditionnés (la feuille de route gouvernementale fixe un objectif de 20 %) offre de substantiels bénéfices environnementaux, qui vont d’ailleurs souvent de pair avec des économies budgétaires.

Un autre sujet déterminant est la sensibilisation et l’accompagnement des agents au sein de l’organisation informatique, pour intégrer davantage la dimension environnementale aux projets (éco-conception), et dans les services, pour que chacun adopte des usages numériques plus sobres et responsables. À cet effet, Atos a développé une application mobile, Atos Green App, à l’intention des utilisateurs finaux pour les aider à faire évoluer leurs comportements jour après jour.

3. Faire du numérique un levier des politiques environnementales

Tour à tour outil de mesure, de simulation, d’analyse, de collaboration et d’information, le numérique joue un rôle clé dans la définition, la mise en œuvre et le contrôle des politiques environnementales des acteurs publics. Par exemple, alors que l’État doit engager la rénovation énergétique de ses bâtiments, estimés à 100 millions de m², le numérique permet d’analyser, de modéliser et de piloter la consommation pour éviter les gaspillages. Les données satellitaires peuvent aussi permettre d’identifier les toitures éligibles à l’installation de panneaux solaires ou les îlots de chaleur à végétaliser en priorité – des services proposés par Atos via sa plateforme de services Mundi. De même, dans le domaine de la mobilité, il est possible de réduire et limiter les déplacements grâce au télétravail, ou de les optimiser en calculant les trajets de navettes collectives.

Dans ces domaines et bien d’autres – économie circulaire, protection des ressources naturelles et de la biodiversité… –, l’État peut utiliser le numérique pour lui-même, mais aussi pour développer des solutions à l’intention des territoires, des entreprises et des citoyens afin de mieux diffuser et articuler les actions sur le terrain.

L’environnement est un sujet qui préoccupe et passionne les Français, mais les évènements de ces dernières années ont montré qu’on ne pouvait envisager des changements affectant de façon importante leur vie quotidienne sans leur avis ni leur soutien. Qu’il s’agisse de recueillir des données via des compteurs intelligents ou d’animer des « Conference of the Parties » (COP) locales dans les territoires, la technologie apparaît comme un moyen privilégié de les impliquer et de les informer, et ainsi d’élaborer avec leur assentiment les politiques locales et nationales qui permettront à la France de tenir ses engagements.

L’environnement, un engagement stratégique pour Atos

Atos a fait de la lutte contre le changement climatique l’un des trois piliers de sa raison d’être. Le Groupe, qui figure déjà parmi les 5 % d’entreprises les plus performantes du point de vue environnemental au monde (« liste A » du CDP), a récemment relevé ses objectifs en la matière et vise désormais à atteindre « zéro émission nette » d’ici 2039. Renforcé par l’acquisition d’Ecoact en 2020, Atos propose des solutions de bout en bout pour aider ses clients à décarboner leur activité et concrétiser leurs ambitions environnementales.

Réservez ici votre atelier « Innovation in a box »,
un parcours personnalisé en 60 minutes !

  • Choisissez un ou plusieurs sujets « brûlants » de votre activité
  • Nous personnalisons ensemble l’agenda
  • Nous réunissons pour vous : experts, démos, cas d’usage
  • Atelier à distance ou sur place
  • Exemples d’ateliers : Souveraineté, cybersécurité,
    plateformes de données, décarbonation et écologie urbaine, …

Demandez votre atelier