Décideurs IT : passez de la possession à la souscription …
Disposer des meilleurs outils pour travailler, cela ne se limite plus seulement à des spécifications techniques.
L’enjeu ? Disposer d’un portefeuille de services susceptibles d’évoluer au gré des orientations de l’entreprise … Les stratégies IT sont entrées de plain-pied dans l’ère de l’économie de la souscription !
En Janvier dernier, le célèbre Institut Gartner prévoyait que les dépenses IT au niveau mondial atteindraient les 3,9 milliards de dollars. Mais, dans l’entrefaite, les experts ont dû revoir leurs prévisions à la baisse. Sous l’effet du COVID-19, les dépenses IT en 2020 s’établiront à 8% de moins (3,4 milliards de $) qu’envisagé. Cette contraction du marché s’explique évidemment par les incertitudes économiques qui planent à l’échelle mondiale. Et pourtant, plus que jamais les entreprises sont confrontées à un enjeu majeur : garantir la continuité de l’activité en permettant aux collaborateurs d’accomplir leurs missions en toutes circonstances … et notamment à distance. Dans ce contexte, les organisations qui avaient déjà négocié le virage de la Digital Workplace as a Service sont non seulement parvenues à relever ce défi, mais en outre à adapter leur budget IT, en temps réel. Alors que le débat entre OPEX et CAPEX n’a jamais cessé d’opposer les décideurs, il semble bien que les récents événements fassent aujourd’hui pencher la balance …
L’IT se consomme … comme un service
Avoir le meilleur, sans jamais avoir à supporter le pire. C’est le principal argument qui plaide en faveur de l’économie de la souscription. « L’évolution des usages dans les entreprises amène les collaborateurs à considérer l’IT au sens large du terme, à savoir leur équipement informatique comme un service qui doit les aider à remplir une mission donnée. L’IT est un outil, la valeur réside dans l’accès et le partage de l’information », observe Damien Huc, Solution Manager pour Atos. À l’instar de l’évolution qui a affecté le marché automobile depuis une décennie, la possession de l’équipement IT est reléguée au second rang derrière la notion d’expérience. Dès lors, pourquoi immobiliser des capitaux dans l’acquisition de périphériques IT alors que les applications, les services qui en découlent, constituent la réelle valeur ajoutée ? Parce que le device passe, mais que l’usage demeure, l’économie de la souscription s’impose chaque jour davantage.
Réactivité, flexibilité, évolutivité : les trois atouts de l’économie de la souscription appliquée à l’IT
Renforcer l’efficacité des collaborateurs (et donc la compétitivité de l’entreprise) en attribuant à chacun d’eux les solutions digitales adaptées à ses besoins, et rien que ces solutions, c’est aussi concentrer les moyens financiers de manière rationnelle. « L’atout principal de la Digital Workplace, c’est sa focalisation sur l’utilisateur lui-même pour lui apporter l’environnement, les moyens, les réponses à ses enjeux du quotidien », continue Damien Huc. En utilisant des personas, il sera possible de proposer à chaque collaborateur un équipement (hardware et software) sur mesure et susceptible d’évoluer rapidement au gré de l’évolution des besoins. « L’offre d’Atos, fondée sur un ensemble de services packagés, permet de disposer de solutions immédiatement exploitables sans intervention des équipes IT pour préparer et configurer les périphériques. Gain de temps, simplification des organisations, autant de spécificités qui se traduisent par des économies sur le TCO qui peuvent atteindre 30% », précise Damien Huc. En fondant leur stratégie IT sur l’économie de la souscription, les décideurs informatiques peuvent sans friction, augmenter ou diminuer leur parc, même très ponctuellement de même qu’ils peuvent élargir ou restreindre les champs des services souscrits en fonction de la saisonnalité ou des objectifs à atteindre. Maîtrise du TCO, satisfaction des collaborateurs, rationalisation des missions des équipes SI … Autant d’avantages directement associés à la notion de Digital Workplace as a Service !
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